Tout va trop vite,
En besogne,
En rogne,
En cogne.
Les essaims me frôlent,
Insaisissables,
M’attisent,
Me déboulonnent.
Je penche à Pise,
Et me noie à Venise.
La lagune est verte,
Les canaux lacrymaux,
Remplis de charognes obscènes
Et d’amours mortes décomposées.
Ça sent la fin,
La fin des choses,
La fin des gens,
La fin des mots.
Besogne ! Rogne ! Cogne !